Cet ouvrage est une véritable expression, un témoignage courageux et un appel criant lancé à la responsabilité et à l'organisation politique envers les autorités africaines sans oublier les citoyens de ce pays: le Congo, pour mettre fin à l'autodestruction.
Faut-il se soumettre au pouvoir politique?
Bien que la soumission au pouvoir politique semble être la condition première de l'ordre et de la paix sociale, il faut démystifier le pouvoir pour fonder la république sur la liberté intime de l'esprit. Douloureux de voir un jeune qui passe toutes ses études dans la guerre et qui tant bien que mal les réussit.
En même temps, un exemple qui montre le courage que l'on peut avoir pendant des moments difficiles. Une réflexion!
l'auteur a beaucoup de la chance. Il n'a non seulement été courageux mais a surtout de la chance justement d'avoir eu des parents qui avaient des moyens financiers si non il serait mort pour rien à cause des gens assoifés du pouvoir et de la tuerie. Logiquement, ce n'est que par l'obéissance à l'institution politique que l'on peut maintenir une société ordonnée et juste. L'obéissance est la voie de la raison si la politique respecte la dignité humaine. Par rapport à ces épisodes de guerre connus par les congolais, je souhaite que les gens qui vivent dans ce pays se donnent la main au lieu de se déchirer.
Quel est la raison de se donner la mort?
Est-ce une question de préjugé?
Le pouvoir politique doit penser faire du bien à tout ce peuple et non pas pour une partie du peuple. Si cette politique ne fait pas la différence entre le peuple du nord et du sud, puis entre le peuple de l'est et de l'ouest, le respect et l'obéissance s'installeront dans les esprits des gens et la considération de l'autre interviendra. Le respect de l'ordre passe par l'obéissance réfléchie au pouvoir étatique.
Ton livre dans j'ai parcouru les lignes permettra à ceux comme certains français qui ne connaissent pas le Congo, ni même son histoire pourront trouver dans ce livre de quoi se document et prendre connaissance de ce qui nous lies, sans oublier qu'il fut un temps où nous partageons tous ensemble Français de la métropole et ceux des territoire ou département d'outre mer en abrégé DOM-TOM et le Congo-Brazzaville était comme le rappelle l'histoire la "Capitale de la France Libre" et De Gaulle y a séjourné.
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